Vous souhaitez devenir
juge de l’exécution ? Le JEX ou le juge de l’exécution est un nom désignant un magistrat spécialisé dans le tribunal de grande instance. Cependant, ce juge peut détecter ses missions à un ou plusieurs juges d’instances pour examiner de certaines circonstances telles que les dossiers de surendettement. Avant d’en faire votre orientation, vous devez connaître plus concernant cette
fonction judiciaire. En quoi consiste le métier d’un jugement de l’exécution ? Quelles sont les conditions pour en devenir ? Et quelle est la possibilité de l’évolution de cette carrière ?
En quoi consiste le métier d’un juge de l’exécution ?
Le
juge de l’exécution appelé aussi
jex est un métier que seul le président du tribunal de la première instance peut pratiquer. En milieu libre, il contrôle la
condamnation que les décisions judiciaires lui confiée. Il peut se décharger de ses fonctions aux juges d’instance afin de superviser les dossiers de surendettement. C’est seulement lui qui définit les étendues territoriales ainsi que la durée de ces derniers. Ce juge a une mission rude de traiter les problèmes des titres exécutoires et les objections dans l’accomplissement de jugement restitué par la justice exemptée si ceux-ci n’est pas être touché par l’ordre judiciaire.
Le jugement du
juge de l’exécution est annoncé par une lettre recommandée avec accusé d’admission que les débiteurs ou les créanciers peuvent nier dans le délai d’une quinzaine de jours. Un JEX est présent dans chaque tribunal judiciaire. Devant lui, il n’est pas obligatoire de faire appel à un avocat à l’exception de matières de saisie immobilière. Par contre, le justiciable est obligé d’être représenté et seuls certains familles ou proches sont éligibles à cette responsabilité d’assistance. De plus, ils doivent pouvoir présenter au magistrat un mandat écrit d’habilitation. Pour finir, le
juge de l’exécution décide un seul juge et rend des ordonnances. Certaines conditions doivent remplir pour
devenir un juge de l’exécution.
Quelles sont les conditions pour devenir un juge de l’exécution ?
Le
juge de l’exécution intervient après pendant une procédure d’exécution. Il doit être ainsi compétent conformément à une procédure qui lui revient uniquement dans certaines situations. Cela inclut les difficultés concernant les exécutions, surtout quand l’exécution forcée est contestée, les procédures de saisie immobilière, les mesures conservatoires, les organisations de traitement des situations des surendettements. Le métier d’un
jex est accessible pour les personnes diplômées de l’ENAM (École National de la Magistrature). Cette formation de 31 mois est ouverte par voie de concours qui est très restreint. L’école n’instruire qu’une trentaine de candidats chaque année.
Pour pouvoir passer le concours, vous devez être titulaire d’un bac +4 en droit ou diplôme universitaire d’étude politique. Vous pouvez préparer le concours dans un institut d’étude judiciaire (IEJ). De plus, l’examen est destiné aux personnes moins de 27 ans. Les qualités requises pour devenir juge de l’exécution c’est la maîtrise de la loi, aisance relationnelle, diplomatie, sens de l’autorité, impartialité, rigueur, capacité à prendre du recul.
La possibilité d’évolution de carrière
Avec l’expérience, il est possible d’évoluer dans la carrière du
juge de l’exécution vers de très hautes fonctions. Au cours de sa vie professionnelle, il peut détenir des postes différents à titre de juge, ou même passer du siège au parquet ainsi qu’inversement. Effectivement, la mobilité fonctionnelle et géographique est encouragée dans la magistrature. Généralement, elle s’exerce chaque 5 à 7 ans et toujours plus rapidement en début. Un
juge de l’exécution peut faire de demande auprès de sa hiérarchie pour changer de spécialisation. Suite à quelques années d’expérience, le
jex peut aussi assumer des missions de haute responsabilité comme procureur de la République ou vice-président et président de tribunal ou employer dans l’une des directions de l’administration centrale au sein du ministère de la Justice.